Actualité et archéologie du Moyen-Orient et du monde de la Bible

Terre Sainte n. 5/2024 – Sommaire TSM 693

30 août 2024
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Ce numéro de Terre Sainte Magazine arrivera dans les boîtes aux lettres à partir du 28 septembre, soit 10 jours avant le 1er anniversaire du 7 octobre. Un numéro fort qui regarde un an de souffrances de façon réaliste et sans désespérer.

Pour le recevoir, vous devez être abonné AVANT le 10 septembre 2024 – cliquez ici


À la Une – Paris-Match versus Terre Sainte Magazine – Marie-A. Beaulieu

Éditorial – Soyons cette Église de prophètes – Marie-A. Beaulieu

Venez et voyez – Un fameux cuisinier ce Jacob ! – Claire Burkel

DécouvrirL’arak palestinien retrouve ses lettres de noblesseCécile Lemoine

ZoomLe clocher latin du Saint-Sépulcre et son carillon grecMarie-A. Beaulieu

CustodieMartyrs de Damas : De l’histoire à l’actualitéFadi Azar, ofm

Rencontre


Dossier  – Après le 7 octobre, penser les plaies

Depuis 1947 et le Plan de partage de la Palestine, la politique a échoué à mettre en œuvre ce que l’Assemblée des Nations-Unies avait cru bon d’imaginer à la place des habitants.

À partir du 7 octobre, un tsunami – qui se formait au large de longue date – est venu renverser les fragiles édifices étatiques. Certes, officiellement, tout est encore là, mais tout est en ruines.

« Si le Seigneur ne bâtit la maison, en vain peinent les maçons »(1). Et les maçons sont épuisés.

Les hommes et les femmes, habitants de cet espace géographique singulier, portent le poids de décennies de souffrances, de peurs, d’angoisses devant l’incertitude, d’humiliations, de morts.

Les événements qui se succèdent depuis le 7 octobre ont réveillé les sentiments qu’ils s’efforçaient de masquer sous le quotidien.

Plutôt que de faire le compte des morts et des destructions qui s’accumulent depuis un an, Terre Sainte Magazine cherche à comprendre les blessures pour trouver le moyen de les apaiser avec l’ardent désir de les voir guérir un jour.

  • En thérapie : ce qu’Israéliens et Palestiniens racontent à leur psy Cécile Lemoine
  • Bulle : “Il n’y a aucun contre-projet à la violence”Cécile Lemoine
  • La foi, une aide pour se reconstruire face à la guerreArnould Pépin
  • Églises : une année sur la brècheAugustin Bernard-Roudeix
  • Les « yordim »: ces Israéliens qui choisissent l’émigrationAugustin Bernard-Roudeix

Reconstruire – Feel Beit: la musique comme instrument de paix  – Joseph Masson

Ex Presse – Rédaction

TSM et ses lecteursTSM tout numérique mode d’emploi

Billet d’humeur – Ça déva comme on dit à La Machine Marie-A. Beaulieu


Prochaine parution de Terre Sainte Magazine

numéro 694, novembre décembre 2024

dans les boîtes aux lettres en France métropolitaine

à partir du 28 novembre.

Dans ce numéro
Martyrs de Damas: de l’Histoire à l’actualité
Frère Fadi Azar, curé à Lattaquié (Syrie)

Martyrs de Damas: de l’Histoire à l’actualité

Alors qu’ils s’apprêtent à vivre, le 20 octobre, la canonisation de sept de leurs morts martyrs de la foi en 1860 à Damas, les frères de la Custodie relisent cette histoire sachant que quatre des six pays du Moyen-Orient où ils vivent sont en guerre. De quoi méditer sur l’enchaînement des événements qui ont conduit au don le plus grand : celui de sa vie.

Les « yordim »: ces Israéliens qui choisissent l’émigration
Augustin Bernard-Roudeix

Les « yordim »: ces Israéliens qui choisissent l’émigration

Confrontés aux politiques du gouvernement le plus à droite de l’histoire de leur pays et à la catastrophe de la guerre à Gaza, de nombreux Israéliens envisagent de s’établir à l’étranger ou sont déjà passés à l’acte. Terre Sainte Magazine a pu rencontrer plusieurs de ces yordim, unis par une profonde inquiétude pour l’avenir d’Israël.

Feel Beit: la musique comme instrument de paix
Joseph Masson

Feel Beit: la musique comme instrument de paix

Alors que la plupart des organisations interculturelles se concentrent sur la socialisation entre les deux peuples, Feel Beit adopte une approche moins verbale et plus musicale. Au fil des événements, le but est de mettre de côté sa propre identité pour se rencontrer en tant qu’être humain, comme si l’on partageait chacun une grande maison.