Terre Sainte Magazine (TSM), la seule revue chrétienne d’actualités écrite depuis Jérusalem est en effervescence. La rédaction travaille à un dossier sur l’ouverture exceptionnelle du tombeau le 26 octobre dernier. Un numéro qui fera date, mais il n’y en aura pas pour tout le monde.
Terre Sainte Magazine s’apprête à sortir un numéro particulier, dans quel état d’esprit êtes-vous ?
Super excités ! A vrai dire, c’est un numéro ordinaire pour Terre Sainte Magazine qui va traiter d’un sujet extra-ordinaire. Un numéro ordinaire dans la mesure où on apporte autant de soin à ce numéro qu’aux autres. On a quand même cassé notre tirelire pour avoir des photos exceptionnelles. Mais ce qui le rendra différent, c’est la place que nous allons accorder au dossier principal. Vingt-quatre pages sur soixante. Nous sommes le seul magazine au monde qui va prendre pareils temps et place pour revenir sur cet événement qu’a été l’ouverture de la tombe de Jésus. Peut-être le National Geographic sortira-t-il des pages. Mais les articles parus sur le sujet sur les pages du site internet du National Geographic nous laissent penser que nous pourrions bien être meilleurs !
Terre Sainte Magazine meilleur que le National Geographic ?
Euh…oui. Je dis « Euh » … mais je n’hésite pas ! Nous serons meilleurs parce que nous connaissons mieux le Saint-Sépulcre, nous vivons à Jérusalem ! Son histoire, sa vie quotidienne, son épaisseur spirituelle. Nous serons meilleurs parce que nous aimons ce lieu et parce que nous avons des interviews ou articles des plus grands spécialistes.
Pouvez-vous nous en dire plus à ce sujet ?
Nous avons pu interviewer la professeure Moropoulou, en charge des travaux avec qui nous avons passé trois heures ! Elle nous explique pourquoi il a fallu procéder à l’ouverture du tombeau. Le père et professeur Eugenio Alliata, archéologue franciscain du Studium Biblicum Franciscanum de Jérusalem (l’université biblique et archéologique franciscaine), spécialiste du Saint-Sépulcre nous apprendra ce que l’on sait de plus grâce à cette ouverture. Le père Narcys Klimas, archiviste de la Custodie et auteur d’un livre sur l’authenticité du Saint-Sépulcre et la signification de sa vénération, reviendra sur les témoignages lors des précédentes ouvertures et sur les descriptions que font du tombeau les pèlerins du passé. Mais même lui, à la lumière des récentes découvertes doit mettre à jour ses informations fruit d’une véritable enquête dans le passé.
Rien que sur ces pages, nous aurions pu faire une pagination plus importante tant nous disposons d’informations. Et à côté des informations scientifiques, il y faudrait pouvoir décrire l’émotion, l’étonnement des scientifiques eux-mêmes. Personne n’est sorti de ce tombeau (toujours aussi vide) comme il y était entré alors qu’il a été dé-couvert.
Du reste, nous avons aussi programmé un article sur ce point. C’est le premier bouclé. Nous avons recueilli les témoignages de quelques-uns des privilégiés qui ont pu entrer durant les 60 heures de l’ouverture. Il est très touchant. C’est le plus spirituel. Je ne pense pas que le National Geographic laisse la place pour de tels témoignages de foi…
Verrons-nous des images ?
Oui, des photos de ce qui a été vu, des photos des travaux et aussi des schémas susceptibles de nous faire comprendre ce qu’il reste du tombeau. Beaucoup plus qu’on ne pensait. Une photo aussi susceptible de donner une idée de ce à quoi pouvait ressembler le tombeau de Jésus puisqu’il existe ailleurs dans Jérusalem un tombeau qui se rapproche des « restes » présents dans la basilique de la Résurrection.
Pourquoi s’intéresser au sépulcre vide, alors que selon les Écritures il n’est pas ici et il nous attend en Galilée ?
Parce que dans les Écritures, avant de nous envoyer en Galilée, les anges nous invitent : « Venez et voyez l’endroit où on l’avait déposé ». Parce que l’expérience la basilique de la résurrection, et dans cette basilique singulièrement l’expérience d’entrer dans ce sépulcre vide, c’est l’expérience d’une aube pascale, la même qu’ont vécu Marie Madeleine, Pierre, Jean qui se sont précipités qui ont vu et qui ensuite ont trouvé la force de repartir vers la Galilée. Ce tombeau vide est un tremplin dans nos vies. Le Christ est descendu aux enfers alors qu’il reposait là. Il est ressuscité d’entre les morts alors qu’il reposait là. C’est le point GPS de la source intarissable de l’espérance. Et à mon avis de l’espérance, on en a besoin pour ce monde, dans nos vies.
On peut vivre l’entièreté de l’espérance, de l’expérience, de la foi chrétienne sans jamais venir là. C’est incontestable. Mais on peut aussi venir voir, venir toucher et se laisser renouveler dans le mystère de l’incarnation et du Salut. Ce point GPS c’est de la dynamite spirituelle !
Quand le numéro sortira-t-il exactement ?
Fin janvier, premiers jours de février, histoire de nous motiver à vivre la montée vers Pâques qui commence avec le Carême au début du mois mars !
Où pourra-t-on trouver ce numéro ?
A priori, on ne trouve pas Terre Sainte Magazine parce que c’est une revue sur abonnement. Mais depuis quelques mois nous sommes aussi distribués à la Procure à Paris. Et nous espérons l’être pour ce numéro dans trois sanctuaires de Terre Sainte. Il y aura c’est sûr Abou Gosh, les autres c’est en pourparlers. Nous espérons aussi grâce à notre éditeur Bayard Service Edition, pouvoir entrer dans d’autres librairies. On y travaille mais Dieu que le marché est frileux !
Donc nous ne saurions que recommander de s’abonner au plus vite. Non seulement les abonnés recevront ce numéro, mais les 5 suivants de l’année 2017 soit au total 6 fois 60 pages, pour 28 euros et en plus chaque nouvel abonné à Terre Sainte Magazine fait sans le savoir un don aux chrétiens de Terre Sainte ! Les propriétaires de Terre Sainte Magazine ce sont les Franciscains du Proche-Orient, ils vivent exclusivement de dons. Et si Terre Sainte Magazine devait faire du bénéfice, il serait intégralement versé à leurs œuvres sociales et éducatives.
Nous allons faire un tirage exceptionnel, mais il sera limité quand même car pour le coup, nous n’avons pas les épaules aussi larges que le National Geographic. On ne peut pas se permettre de prendre le bouillon. Dépêchez-vous, il n’y en aura pas pour tout le monde !
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Informations pratiques :
La sortie du numéro 647 de janvier février 2017 est prévue pour une arrivée dans les boites aux lettre dans les derniers jours de janvier.
On peut le commander à l’unité au prix de 6,50 euros + 3 euros frais de port, soit 9,50 euros, en envoyant un chèque aux adresses qui figurent ci-dessous. (Franchement il vaut mieux s’abonner et recevoir les 6 numéros de l’année pour 28 euros !)
Pour passer commande de plusieurs exemplaires du numéro 647 avant le 10 janvier : s’adresser par email à emilie@terresainte.net qui ajustera les frais de port.
Les informations d’abonnement sont disponibles en cliquant ici.
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Pour la France:
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Terre Sainte Magazine – No 647
7 rue Marie-Rose
75014 Paris
Précisez sur papier libre que votre achat concerne le numéro 647
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Franciscains -Solidarité et Service
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Rue Antoine-de-Quartery 1
1890 St-Maurice
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