
Billets d’humeur
Je rêve de pèlerinages – TSM 672
Dans la solitude, il faut s’accrocher pour ne pas partir en vrille – TSM 670
Encore un peu et j’allais croire que mon été fut aventureux. Pensez, j’ai pris l’avion d’un continent à l’autre aller et retour ! En temps de pandémie, ce qui était devenu presque anodin tient de l’exploit.
La bien nommée via douloureuse
Cet automne, nous avons signalé sur le site que la vieille ville de Jérusalem était de plus en plus accessible.
Identités meurtrières… ou pas
Je suis née quelque part et j’ai bien de la chance
Un avant-goût de la Jérusalem céleste – TSM 652
La photo (au-dessus) est celle d’un groupe de jeunes pèlerins franciscains siciliens en visite au mur Occidental, dit (improprement) des lamentations. Elle a été prise par Yishay Shavit un guide israélien qui passait par là. Un prêtre ici ou là au Kotel, on le voit presque tous les jours. Mais le col romain fait moins d’effet que la bure.
Ce que je retiendrai de cette journée – TSM 638
Jeudi 18 juin au matin, les bénédictins de Tabgha, gardiens du sanctuaire de la Multiplication des pains, ont été réveillés à 3 h 10 du matin par le feu qui ravageait l’atrium de leur église, et une partie de l’aile sud du cloître.
Choisis donc la vie en aimant – TSM 647
Nombreux sont les lecteurs à signaler à la rédaction qu’ils commencent par le billet d’humeur juste avant d’aller lire l’éditorial. Deux types d’articles qui reflètent l’orientation ou le point de vue de la rédaction ou de leur auteur.
Vous avez dit bonne année 2017 ? – TSM 646
Nous étions en septembre, le comité de rédaction de TSM était réuni pour penser l’année à venir. Il faut s’y prendre à l’avance car les articles de l’édition de janvier février devront être prêts à la mi-décembre.
Et je vis les cieux ouverts… ou quasi – TSM 645
Toucher la pierre originelle de la colline de Jérusalem dans laquelle a été creusé le tombeau du Christ, et les émotions que cela procure.
C’est si simple en fait de se rencontrer
Cécile était arrivée parmi nous pour faire un stage au cœur de la rédaction. Mais que sait-on à 19 ans du conflit israélo-palestinien ou des Églises orientales ? Comment lui confier un sujet qui soit publiable pour sa joie et la nôtre ?