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Nouvelles inscriptions anti-chrétiennes à la Basilique de la Dormition sur le Mont Sion
Dans la nuit de samedi à dimanche 17 janvier, l’Abbaye de la Dormition a été vandalisée. Des tags anti-chrétiens ont été écrits au marqueur indélébile sur les portes et les murs du monastère bénédictin : “Mort aux hérétiques chrétiens, les ennemis d’Israël”, “Les chrétiens en enfer”, “Revanche pour les israélites”, “Que son nom (Jésus) et sa mémoire soient effacés”. D’autres inscriptions anti-chrétiennes ont aussi été trouvées sur les murs de l’école Patriarcale grecque-orthodoxe de Saint-Sion, ainsi que dans les cimetières arménien et grec-orthodoxe voisins.
La communauté de Tabgha sera finalement indemnisée pour l’incendie volontaire
Après l’incendie criminel de juin dernier, le service des impôts israéliens avait annoncé le 10 septembre que l’église de Tabgha ne recevrait pas les dédommagements prévus par la loi israélienne en cas d’acte terroriste au motif que l’incendie volontaire de l’édifice ne relevait pas du terrorisme. Lundi 21 septembre, le procureur général israélien est revenu sur cette décision. La communauté bénédictine de Tabgha sera finalement indemnisée.
Deux mises en examen pour la destruction de Tabgha
Un communiqué de presse publié par l'ambassade d'Israël au Saint-Siège annonce aujourd'hui que deux jeunes citoyens israéliens, Ianun Reuveni (20 ans) et Yehuda Asraf (19 ans), ont été formellement mis en accusation et portés responsables de l'incendie nocturne du 18 juin dernier à l'encontre du sanctuaire de la Multiplication des pains et des poissons à Tabgha, sur les rives du lac de Tibériade.
L’enquête sur l’incendie criminel de Tabgha se poursuit
Israël est toujours à la recherche des responsables de l'incendie qui, dans la nuit du 18 juin, a ravagé l'église de la Multiplication des pains et des poissons à Tabgha, sur les rives du lac de Tibériade. Terrasanta.net vous partage les dernières nouvelles.
Incendie volontaire à Tabgha chrétiens et juifs s’inquiètent
Un incendie vraisemblablement d’origine criminelle a partiellement brûlé le sanctuaire de la multiplication des pains à Tabgha dans la nuit du 17 au 18 juin. Un graffiti en hébreu oriente l’enquête vers des extrémistes juifs. La récurrence de tels actes inquiètent les chrétiens de Terre Sainte, mais également bon nombre de juifs en Israël.
Des israéliens manifestent leur soutien aux communautés victimes de « prix à payer »
À deux semaines de l’arrivée en Terre Sainte et devant la recrudescence des attaques de types « prix à payer » spécialement contre des lieux saints chrétiens, des Israéliens ont manifesté dimanche 11 mai en fin d’après midi pour dire leur opposition à ces actes de violence.
Le cimetière d’Oskar Schindler n’échappe pas au « prix à payer »
L’entrée du cimetière catholique où repose le corps d’Oskar Schindler qui sauva plus de mille juifs durant la seconde guerre mondiale n’a pas échappé cette nuit au vandalisme. La mention en hébreu « Tag Mehir » (« prix à payer » en français) a été écrite sur un des murs. Cet acte s’inscrit dans une série d’actes de vandalismes et profanations de lieux chrétiens qui n’en finit pas de s’allonger.
Prix à payer, paix retardée
"Mort aux chrétiens", c'est le graffiti que le père Claudio, grec orthodoxe du monastère de la Sainte-Croix à Jérusalem, a trouvé ce matin inscrit sur sa voiture, entouré d'étoiles de David et du nom de la colonie de Migron. Une autre voiture a été vandalisée, les pneus des deux véhicules ont été crevés. La police soupçonne une manifestation du "prix à payer".