Sud-Liban
Frère Toufic: « Au Liban, nous sommes les enfants du peuple du Phénix »
Frère Toufic Bou Merhi est un franciscain de la Custodie de Terre Sainte. Mardi 1er octobre, il a fermé derrière lui le portail du couvent franciscain de Tyr après qu'une bombe soit tombée à une centaine de mètres. Les sentiments que la guerre produisent en lui, il ressent parfois le besoin de les écrire. La forme est poétique et en langue française.
Un million de Libanais déplacés, le témoignage de l’évêque latin de Beyrouth
Monseigneur César Essayan, vicaire apostolique de Beyrouth pour la petite communauté catholique de rite latin au Liban, détaille les effets dramatiques de l'offensive israélienne sur le Pays du Cèdre. Au-delà des urgences immédiates, il s'inquiète pour les générations futures.
Chère bombe, je t’en prie, laisse-nous en paix
Une bombe vient de tomber à une cinquantaine de mètres du couvent franciscain de Tyr. Frère Toufic Bou Merhi se sent démuni devant les questions que lui posent les enfants venus se réfugier dans ses murs, alors il écrit.
Les franciscains en solidarité avec les chrétiens du Sud-Liban
Présents dans le sud du Liban avec un couvent à Tyr, les franciscains de la Custodie de Terre Sainte apportent un soutien matériel et moral aux familles latines qui sont restées dans leur village malgré les affrontements entre Israël et le Hezbollah à la frontière.